Après Costa-Gavras et avant Polanski, variation* sur la terreur sud-américaine, nimbée de sensualité onirique, de fétichisme borderline (l'hilarant film de propagande nazie narré par William Hurt !) et de tortures mentales, mais ne disant finalement rien - ou peu - des thèmes et sujets qu'elle aborde, lui préférant l'humain (à tout le moins "les personnages") et sa psyché pleine de contradictions et d'amour(s)... sans franchement emporter l'adhésion ni susciter de grisante émotion non plus.
* mais sans doute le projet et sa réalisation
s'avèrent-ils supérieurs au film lui-même...
s'avèrent-ils supérieurs au film lui-même...
O Beijo da Mulher Aranha (Brésil/USA-1985), d'Hector Babenco.
Sortie française: 5 juin 1985