On aurait pu appeler ça "La Femme Qui Aimait (Buter) Les Hommes".
Cette plutôt méconnue Truffalderie (avec L'Argent de Poche), fantaisie truculente devant oxygéner l'oeuvre, après les immenses mais raides Deux Anglaises (...), joue la carte du feuilleton débridé (et un rien vulgaire), plus grotesque que La Mariée Etait en Noir, moins particulier que La Fiancée du Pirate(de Nelly Kaplan) et bien en-deça du futur témoignage de Bertrand Morane, trois titres qu'il est impossible d'évacuer en voyant celui-ci (pas plus qu'il est permis de faire l'économie de L'Enfant Sauvage, à bien y regarder, Prévine faisant parfois un Pr Itard puceau !).
Impossible non plus de ne pas songer à Fantasia chez les Ploucs, Coup de Torchon et tous ces titres (souvent ultérieurs) jouant la carte de la Série Noire US barrée.
Et de constater que décidément, le Père François n'était pas là dans son registre, putain (comme le copain Hitch et son Family Plot ?).
Le casting pourtant promettait, tout comme la photo et la direction artistique (intérieurs remarquables)... mais Truffaut s'embarquant ainsi à faire du Mocky, mesurez le problème.
Et si vous ne pouvez pas, on s'en charge ici pour vous... et c'est pas jojo.
Impossible non plus de ne pas songer à Fantasia chez les Ploucs, Coup de Torchon et tous ces titres (souvent ultérieurs) jouant la carte de la Série Noire US barrée.
Et de constater que décidément, le Père François n'était pas là dans son registre, putain (comme le copain Hitch et son Family Plot ?).
Le casting pourtant promettait, tout comme la photo et la direction artistique (intérieurs remarquables)... mais Truffaut s'embarquant ainsi à faire du Mocky, mesurez le problème.
Et si vous ne pouvez pas, on s'en charge ici pour vous... et c'est pas jojo.
Une belle fille comme moi(France/1972), de François Truffaut
Sortie française: 13 septembre 1972