Balisé dans ses enjeux mythologiques (le souffre-douleur humilié vire au psycho-killer vengeur), ses motifs (quid du masque, ici roublardement favorisé par un bal costumé), sa topographie (au camp de vacances isolé est ici substitué un train, tout aussi compartimenté (ah ! ah !)) et même son casting (Jamie Lee Curtis, incontournable scream queen d'alors), ce qui pourrait n'être qu'un stab movie de plus suscite toutefois un intérêt réel de par la qualité renversante de sa photographie (John Ascott, qui filmait aussi Shining la même année !) et quelques malices de découpage et/ou de montage.
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