Certains films, plus marquants que d'autres, accrochent leurs images sur les parois du crâne. Visite guidée.
"Ingrid Bergman, prise en faute, se passe la main dans les cheveux."
"Pendant ce temps, Gregory Peck fait des cauchemars complétement flippants."
"Et puis la frissonnante découverte du pouvoir de la caméra subjective."
Spellbound, 1945/USA, Hitchcock trois fois accroché par Nicolas Tellop.